Le placement immobilier est un des investissements préférés des Français. Cependant, pour vous lancer dans ce domaine, vous devez maîtriser ses rouages. Sauter dans le vide vous fera sûrement perdre de l’argent et du temps. Parmi les points cruciaux à connaître, il y a le taux de rentabilité locative. C’est un indice qui va montrer la rentabilité de votre investissement immobilier. Si ce terme vous paraît compliqué, ne vous inquiétez pas, à la fin de votre lecture, vous allez tout comprendre.
Qu’est-ce qu’un rendement locatif ?
Il est également appelé rentabilité locative. C’est un calcul qui va vous permettre de connaître si votre investissement sera rentable ou pas. Grâce à cet indicateur, vous aurez également la possibilité de faire une comparaison de la rentabilité avec d’autres formes de placement. Pour le calculer, vous aurez deux méthodes : brut (qui ne tient pas compte de la situation personnelle et des charges de l’acheteur) et net (qui prend en considération les charges, les impôts, les revenus de l’acheteur). Pour répondre à toutes vos questions concernant l’immobilier, visitez la page web Top Immobilier.
Le rendement locatif sert à calculer le taux entre l’investissement immobilier et les loyers perçus tous les ans. L’investissement immobilier a un rendement net qui tourne autour de 2 à 7%. Ce chiffre peut augmenter en fonction de plusieurs paramètres : la taille de la maison, ou sa situation géographique.
Comment calculer le rendement locatif ?
Un calcul de rentabilité locative est un processus assez simple. Il suffit d’appliquer une formule afin d’obtenir le rendement locatif brut. C’est le loyer annuel multiplié par 100, puis divisé par le montant d’acquisition du bien. Le pourcentage obtenu sera l’équivalent du bénéfice que vous rapporteront les loyers par an.
Si vous souhaitez faire le calcul du rendement locatif net, vous pouvez procéder de la même façon. La formule est exactement la même, par contre, il faut tenir compte des charges et des variables qui pourront avoir un effet sur la finance (taxes foncière, charges de copropriétés ou encore les impôts sur les revenus). Le loyer brut sera multiplié par 12. Vous allez ensuite soustraire les charges et les taxes. Le résultat obtenu sera divisé par le montant de l’acquisition du bien, ajouté aux droits de mutation et les frais.